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Qui Suis-Je ?

  • : VESPANNIE
  • : Bonjour ! Je suis ravie que vous veniez me rendre visite... Ce blog est fait pour partager avec vous mes passions pour les loisirs créatifs (broderie, scrap, pergamano, peinture...) mais aussi pour les balades à Vespa dans notre beau département du Tarn&Garonne... (Ce qui n'est hélas plus d'actualité puisque j'ai déménagé dans les Landes et vendu ma Vespa Lx 125). J'y parle aussi de mes lectures... Son nom sonne comme le nom d'un pays du nouveau monde : celui de la retraite et ses menus plaisirs. Merci de me laisser une petite trace de votre passage grâce aux commentaires !
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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 09:46

Bonjour, bonjour !

Je me promène, je brode, je quilte... mais aussi je lis !...

Dernièrement, j'ai découvert le style de Douglas Kennedy avec "Une relation dangereuse" :

RelaDanger.jpg

La journaliste Sally Goodchild, lors d'une mission au Caire, rencontre un reporter anglais Tony et tombe sous son charme. Suite à une proposition alléchante pour Tony, ils s'établissent à Londres. Sa grossesse lui provoque des troubles de santé. Elle accouche prématurément ; son bébé est placé en couveuse et elle sombre dans une grave dépression. C'est alors qu'elle se rend compte que, non seulement Tony se désintéresse d'elle, mais qu'en plus il semble vouloir s'approprier la garde de son enfant...

A vous faire froid dans le dos...

Ensuite, j'ai succombé de nouveau au charme des ouvrages de Guillaume Musso, avec  "L'appel de l'ange" :

AppelAnge.jpg

Madeline (qui vit en France) et Jonathan (qui vit aux Usa) se bousculent involontairement à l'aéroport Kennedy. Sans le vouloir, en ramassant leurs affaires, ils échangent leurs téléphones portables. Ce n'est que chacun chez eux, qu'ils s'en rendent compte. Leur curiosité respective les amène à découvrir que leurs vies sont liées par un secret...

Comme le dit Musso dans son prologue : le contenu de notre téléphone portable en dit long sur nous-mêmes lorsqu'on se laisse aller à l'utiliser comme lieu de stockage d'images ou messages privés... Et si on le perd et qu'il tombe entre des mains mal intentionnées...
J'ai bien aimé ce livre à l'intrigue bien tournée...

Et enfin, le dernier ouvrage que je viens de lire : "La mélodie des jours" de Lorraine Fouchet :

MelodieJours.jpg

Lucie qui vient d'installer une fromagerie dans un village de Provence, apprend, lors d'une visite médicale, qu'elle est atteinte d'un cancer du sein. Pour protéger sa fille Léa, elle se tait. Mais difficile de faire face seule à une aussi terrible nouvelle. Ne connaissant personne, elle s'inscrit sur le "Site des voisins", et découvre une entr'aide qu'elle n'aurait pas soupçonnée. Au fil des jours, les amitiés virtuelles se transforment en amitiés réelles et en amour...

J'ai beaucoup aimé ce dernier ouvrage tout empreint d'une belle relation mère-fille...

Et vous qui avez lu un de ces ouvrages, qu'en avez-vous pensé ?

jaimelire

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3 juillet 2011 7 03 /07 /juillet /2011 16:09

Il y a déjà quelque temps :

ombrespalomb

Barbara, jeune femme de 35 ans ne se sent pas prête pour la maternité malgré le désir d’enfant de son compagnon. Elle décide de prendre conseil auprès de la seule personne qu’elle pense en mesure de l’aider : sa mère. Elle avertit cette dernière de sa venue. Mais à son arrivée, sa mère s’étonne de la voir.
Barbara commence à avoir des doutes sur l’état mental de sa mère et se pose de nouvelles questions sur le brutal décès de son père 25 ans auparavant, imaginant que ce soit la cause des problèmes de sa mère.
Elle mène elle-même son enquête et décide de réunir tous ses frères et sœurs pour prendre une décision concernant l’avenir de leur mère.
Ce beau roman traite de questions d’actualités   la solitude des personnes âgées, la maladie d’Alzheimer, le désir de maternité…

Personnellement, j’ai bien aimé. Je ne pensais pas connaître les auteurs (Claude-Rose et Lucien-Guy Touati) mais je me suis souvenue que j’avais fait lire à mes élèves de Cm2 un de leurs ouvrages pour la jeunesse « La fièvre du mercredi » qui traitait d’un sujet d’actualité : les mercredis trop remplis d’activités qui ne laissent plus une minute de repos aux enfants.

Ensuite, je me suis attaquée à la trilogie de Katherine Pancol :

yeuxjaunes-copie-1.jpg

valsetortues.jpg

ecureuiltriste.jpg

De bons gros bouquins (entre 650 et 1000 pages selon le tome), qui se lisent pourtant très vite.
C’est l’histoire de deux sœurs très différentes :
La première, Iris, belle, admirée de tous, très sûre d’elle, semble tout avoir pour être heureuse, mais ne vit que pour l'argent et se désintéresse de son mari et de son fils .
La seconde, Joséphine, suite au manque d’amour de sa mère qui n'admire que l'aînée, manque de confiance en elle…
Son mari la quitte pour une autre, ce qui n’arrange pas son sentiment d’infériorité. Elle se débat alors avec de gros problèmes : il lui faut trouver de l’argent pour faire vivre ses deux filles.
 

Joséphine reconstruit sa vie progressivement et nous assistons à l’évolution de tout son petit monde au fil des trois tomes.

Certes, les personnages sont parfois surréalistes et caricaturaux mais j’ai passé un bon moment en leur compagnie !

Et vous, avez-vous lu ces ouvrages ? Qu'en avez-vous pensé ?

jaimelire


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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 10:14

Coucou tout le monde ! Presqu'un mois que je n'ai pas posté !

Non, mon blog n’était pas en vacances…

Oui, je continue de broder et de patcher…

Oui, j’ai de nombreux ouvrages en cours… Mais je ne peux rien vous montrer de terminé encore. Alors aujourd’hui, je vous parlerai de mes dernières lectures.

Tout d’abord :

Ceux qui se cachent de Carlene Thomson

Ceuxcachent.jpg

Un bon petit policier qui raconte comment Diana et Tyler cherchent à comprendre qui a souhaité la mort de Penny et de sa petite fille, récemment installées dans une petite maison de la ville de Huntington et pourquoi…

 

Ensuite :

Ces mensonges qui arrangent de Jérôme Manierski

mensonges.jpg

William, employé dans un centre d’incinération, assiste à la destruction d’un livre à peine sorti de l’imprimerie. Intrigué il parvient à sauver une page de l’ouvrage et se met en quête de comprendre pourquoi ce livre est détruit ; l’éditeur trouve la mort dans un terrible accident et William est persuadé qu’il s’agit d’un meurtre…

Dans ce 2ème roman, l’auteur dénonce les manipulations des populations à l’échelle mondiale tant sur le plan  des opinions politiques que dans le domaine de la recherche (notamment sur la santé),  le contrôle de la pensée et le conditionnement des esprits, le tout orienté en secret par les intérêts financiers d’une petite minorité élite.

Il dénonce  tout ce qui rend les populations dépendantes du système : dépendance à l’énergie, à la technologie, à la médecine, à l’alimentation industrielle, au confort matériel… tout ce qui fait notre monde actuel, monde dans lequel la recherche du bonheur ne peut se faire qu’à l’extérieur de soi.

Difficile de garder son libre arbitre, tel est le principal message de cet ouvrage, qui m’a laissé comme un malaise tant il sous-entend la véracité d’une théorie du complot et d’une manipulation des masses…


Et enfin :

3096 jours de Natascha Kampusch

3096jours.jpg

Séquestrée pendant huit ans avant de parvenir à s'échapper des mains de son ravisseur, Natascha Kampusch raconte les circonstances de son enlèvement sur le chemin de l'école en 1998, et revient sur le calvaire qu'elle a vécu pendant les 3096 jours qu’a duré sa détention.

Elle raconte comment son ravisseur, Priklopil, la maintenait en état de servilité, de dépendance et de faiblesse en l’affamant, la frappant, la forçant à nettoyer sa maison, à participer à des travaux de rénovation.

Un ouvrage poignant qui montre jusqu’où peut aller la perversion humaine…

 

Pour ma part, c'est ce troisième ouvrage qui m'a le plus intéressée...

Et vous, les avez-vous lus ? Qu'en avez-vous pensé ?

jaimelire

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 10:03

memoirevent.gif

Merci Alain Dubos pour ce beau roman ! J’ai adoré ! Du début à la fin !…

 

Le héros, Marc, médecin humanitaire, revient dans les Landes pour les obsèques de son père qu’il n’a pas revu depuis plusieurs mois, et qui a trouvé la mort au cours de la tempête de décembre 1999. Alors qu’il envisage de revendre la maison de la Théoulère, car il a toujours voulu fuir la moindre attache, il apprend de la bouche de son oncle, que son père, joueur invétéré, a laissé derrière lui de lourdes dettes, notamment auprès de ce dernier.

Son oncle lui propose de racheter la propriété en contre-partie des dettes, mais Marc hésite…

Il rencontre sa jeune cousine Solange. Celle-ci lui fait découvrir la forêt landaise sous un autre jour, et ils s’éprennent l’un de l’autre…


J’ai eu l’impression que dans ce roman, Alain Dubos s’était « un peu lâché » à exprimer ses vrais ressentis à l’égard de ces grands propriétaires forestiers et leurs petits stratagèmes pour accroître sans cesse l’étendue de leur propriété ; de même, par la bouche de son héros, j’ai senti un regard quelque peu désabusé quant aux acteurs de l'humanitaire, dont certains cherchent à se glorifier ou à trouver un débouché qui leur vaut la reconnaissance du gouvernement… déçu sans doute que bon nombre d’entre eux aient oublié les raisons altruistes qui les ont poussés à s’y engager…

 

J’ai beaucoup aimé la description des personnages (ah ! le long nez des landais !) et de leur mentalité terrienne, la description des lieux (je m’y serais crue, notamment quand il a été question du pont de Bats ; adolescente, j’y rejoignais souvent mes copines dans le moulin qui le jouxte). La description des fêtes de la Madeleine, auxquelles j’ai participé dans ma jeunesse est criante de vérité, on s’y croirait !…

Et puis comme d’habitude, j’ai découvert de nouveaux mots pour lesquels, je n’ai pas honte de le dire, je suis allée chercher le sens dans le dictionnaire… Je ne parle pas des jurons locaux (hilh de pute, diou bibant ou macareou...) ou encore des mots comme festayre, pinhadar, mounjingue, ou borrachos que je connais et qui ne se trouvent de toute façon pas dans le dictionnaire français... Non, je parle de : l'impéritie, l'ancillarité, le cénacle, les antiennes, la componction ou encore de ces adjectifs : hypoxémique, clanique, cacochyme, abscons, putatif...

J’ai le sentiment que dans ce roman, Alain Dubos y a mis beaucoup de lui-même tant les émotions dépeintes sont fortes !

Encore merci pour ce beau roman que je n’ai pu lâcher qu’une fois terminé et que je relis tout de suite pour mieux m’imprégner de certaines expressions ("nourriture pour phobique du goût"" la ville était une éponge assoiffée"...ça me plaît beaucoup ! Mdr !).

Et merci à vous Alain, de m'avoir signalé sa sortie !...

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 11:16

innocent

 

INNOCENT de Jacques Viguier aux Editions Plon

Jacques Viguier, accusé du meurtre de sa femme alors que l’on n’a jamais retrouvé le corps de cette dernière, raconte les années de souffrance et de combat qui ont suivi la disparition de sa femme. Il raconte comment l’amant de cette dernière a orienté l’enquête en lui faisant endosser la responsabilité…

J’attendais de cet ouvrage d’en apprendre un peu plus que nous en avaient dévoilé les médias… Ce ne fut pas le cas. Mais je comprends aussi qu’il doive rester prudent et ne pas accuser quelqu’un d’autre sans preuve et renouveler pour un autre, ce qu’il a vécu lui-même…

 

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Noire solitude de Ann Cleeves

Un matin de janvier, Catherine Ross, remarque au loin un éclat rouge dans la neige survolé d’une nuée de corbeaux. S’approchant, elle découvre le cadavre d’une adolescente.

Tout le village pense alors à Magnus, personnage solitaire un peu simple d’esprit, déjà soupçonné du meurtre d’une autre jeune-fille quelques années plus tôt. Mais les preuves semblent trop évidentes pour l’inspecteur Jimmy Perez…

Un bon petit polard.

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Les ailes de l’ange de Jenny Wingfield

La famille de Swan, les Moses, s’installe chez sa grand-mère en attendant que le père, prédicateur, retrouve un nouvel endroit pour prêcher. Les Moses d’une droiture et d’une honnêteté sans faille, se heurtent au mode de vie de leur voisin Ballenger dont le père, éleveur de chevaux, maltraite aussi bien les animaux que les membres de sa famille.

Swan se lie d’amitié avec le petit Blade Ballenger, qui, maltraité, se réfugie chez les Moses.

Un roman poignant, haletant, qui m'a touchée au plus profond de moi-même et dont la fin, inattendue, m'a conduite à la révolte intérieure contre la bêtise et la violence de certains êtres à l'égard des plus faibles…


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Marie Roquelaine Couleur Sépia de Renée Bescos (grand prix  Femme Actuelle) aux Editions les nouveaux auteurs

Marie, fille de la ville vient d’épouser un paysan dont elle est tombée amoureuse. Malgré l’inquiétude de sa famille, elle pense pouvoir s’intégrer à cette nouvelle vie proche de la nature. Mais elle en découvre la rudesse des tâches et des relations, notamment avec sa belle famille et progressivement avec son mari, pris entre deux feux…

Premier roman de l’auteure, il est empreint d’une si vive émotion que je n’arrive pas à imaginer qu’il ne soit pas autobiographique.

A un certain moment, je n’ai pu retenir mes larmes qu’en me disant : « ce n’est qu’un roman ! »… Et contrairement à ce que chante les Rita Mitsouko (Les histoires d’amour, finissent mal en général…) et bien voilà un roman qui se termine comme on l’espérait… certes pas dans la quiétude !


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Le chagrin de Lionel Duroy (Grand Prix Marie Claire du roman d’émotion 2010 et Prix Marcel Pagnol 2010) aux Editions Juliard

Dans cet ouvrage autobiographique, Lionel Duroy raconte ses blessures d’enfance. Issu d’une famille nombreuse (10enfants) il exprime la profonde peine qu’il a ressentie lorsque sa mère, les abandonne tous en Tunisie pour faire soigner l’un des ses enfants, malade du choléra.

Il y exprime d’une part, sa haine pour sa mère qu’il rend en partie responsable du mal-être de la famille, et d’autre part son admiration pour son père, homme plein de bonne volonté mais être faible qui s’embourbe dans les petites combines et les petits boulots afin de satisfaire les désirs de sa femme qui rêvait d’une vie mondaine.

Il en veut terriblement à sa mère d’avoir fait des différences entre ses enfants, entre les élus de son cœur (ceux qui ressemblent physiquement à son propre père) et les autres (ceux qui ont eu la malchance de ressembler à son beau-père).

Il y raconte également les difficultés rencontrées au cours de son enfance (expulsion, déscolarisation) ses débuts dans la vie active, ses positions personnelles par rapport à la situation de l’Algérie, sa vie de journaliste à Libé…, sa vie sentimentale…

 

Le dernier de la liste, certes, mais le livre qui me laisse l'impression la plus marquante !

Arrivée à la fin, j’ai presque poussé un soupir de soulagement : Ouf, enfin sortie de la tourmente dans laquelle il nous entraîne !

Personnellement, j’ai du mal à comprendre comment Lionel Duroy peut incriminer à ce point sa mère, quand le père apparaît  comme un être irresponsable qui se positionne plutôt en copain avec ses enfants, les prend pour confidents  de ses difficultés relationnelles avec sa femme. En entraînant ses enfants dans ses mensonges et ses dissimulations, il a probablement entretenu cette haine.

Je prends cet ouvrage comme une  « auto-psychothérapie » plus qu’autre chose…Il me semble qu’il aurait mieux valu que l’auteur apprenne à pardonner même s’il n’oubliera jamais son vécu d’enfant et qu’il soit un peu plus réaliste dans son interprêtation des faits au lieu de toujours accabler sa mère et disculper son père. Je comprends que tous ses frères et sœurs désapprouvent la publication de cet ouvrage.

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A travers ces deux derniers romans, les témoignages m’aident à mieux comprendre ce que fut la vie de cette génération de femmes qui ont fait leurs 20 ans dans les années 50, partagées entre leur désir d’indépendance et leur soumission à leur conjoint (leur éducation allait encore en ce sens) souhaitant vivre leur indépendance, mais pour lesquelles les lois n’étaient pas encore votées… souhaitant contrôler le nombre de leurs grossesses, mais la pilule n’existait pas encore. Une génération de femmes qui n’avaient pas vraiment les moyens de se réaliser autrement qu’en passant par leur mari...

   

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 19:00

Coucou tout le monde !

Ca fait déjà quelque temps que je n’ai pas parlé de mes lectures !

Alors voyons, dans l’ordre :

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La mémoire assassine, de Simone Van Der Vlugt

Un thriller psychologique qui raconte l’histoire d’une jeune femme, Sabine, qui après une longue dépression reprend le travail.

Des souvenirs lui reviennent de son adolescence, notamment son amitié avec Isabel sa grande amie du primaire qui a disparu brutalement sans laisser de traces. Sabine a pourtant le sentiment d’en savoir plus sur cette disparition qu’elle ne le croyait jusqu’alors ; sa mémoire lui revient progressivement et elle pense connaître l’auteur de cette disparition.

Bien sûr je ne vous dévoilerai pas la fin, car cela ne vaudrait plus le coup de le lire, mais je vous avoue que je l’avais imaginée… et j’ai bien aimé !

fiancée

La fiancée de Bombay de Julia Gregson

Les années folles. Viva, une jeune femme sans moyens dont les parents sont décédés en Inde, souhaite ardemment repartir à Bombay. Pour ce faire, elle se fait engager comme chaperon de deux jeunes filles de bonne famille : Rose la réservée qui doit épouser un officier britannique et Victoria, plus fantasque que son amie. Elle prend en charge également le jeune Guy qui était scolarisé en Angleterre et qui doit rejoindre ses parents. Mais Guy est un jeune homme perturbé au comportement troublant.

Là encore, je ne vous dévoilerai pas la suite…

Un joli roman mettant en scène une époque : celle des premières libérations de la femme…

chanson

Chanson des mal-aimants de Sylvie Germain

La narratrice Laudes-Marie raconte son parcours d’enfant reniée et sa vie d’adulte.

Petite fille albinos, elle est abandonnée à la naissance par sa mère. Elle est recueillie par des religieuses qui la rejetteront à leur tour.

Elle raconte sa vie de solitude, d’errances et de rencontres toutes aussi surprenantes les unes que les autres.

Pour moi, ce livre a été un vrai régal : la plume de Sylvie Germain est super agréable à lire, le style délicat, les mots justes, quelques notes d’humour parfois même de dérision…

Je remercie encore Chantal B. qui m’a fait connaître cette auteure. J’avais eu plaisir à illustrer un passage de ce livre justement , car ces mots avaient une telle résonance en moi…

Autant vous dire : j’ai adoré ! Et c'est rare que je m'exprime de la sorte !

Si vous l'avez lu vous aussi, n'hésitez-pas à me donner votre avis...

jaimelire


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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 17:52

 

symbole-perdu.pngJe crois que je vais finir par occulter de mes lectures tous ces romans à succès !

Certes, cet ouvrage est haletant, passionnant, dans ses 3 premiers quarts, mais une fin... bof ! (encore cette curieuse impression de lire un scénario de film grand spectacle...) et une fin qui laisse le lecteur sur sa faim !...

Et vous qui l'avez lu, qu'en avez-vous pensé ?


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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 17:08
Je n'ai rien contre les "pavés" de presque 600 pages, la preuve c'est que je viens de lire jusqu'au bout, le roman de Claudie Gallay :
DEFERLANTES.jpg
mais, j'en suis encore à me demander comment j'ai fait pour aller jusqu'à la fin. Du coup, j'ai cherché sur internet les avis des lecteurs et force est de constater qu'ils sont très partagés. Les uns trouvant l'ouvrage formidable, sublissime, et les autres ennuyeux, sans intérêt...
Pour ma part, j'ai eu beaucoup de mal à y rentrer, car dès les premières pages, le style m'a dérangé. L'utilisation d'un "langage parlé", de phrases courtes, d'un faux style direct, de pronoms de renforcement, d'un vocabulaire pauvre ne me plait pas. Pour mieux me faire comprendre, voici quelques exemples de phrases :
- Vous n'êtes pas d'ici, elle a dit en lui demandant ce qu'il voulait.
.../...
- Je cherche un lit pour la nuit, il a fini par dire.

Pour moi, (réminiscence de mon passé professionnel ?) ces tournures de phrases sont incorrectes et tout le livre est écrit de cette manière ; DERANGEANT !...
Ca me fait penser au style de Goscinny dans Le Petit Nicolas auquel je n'arrive pas plus à accrocher... Même dans "ma vie d'avant", celle où je me devais d'apprendre aux élèves à s'exprimer correctement par écrit dans un langage correct, j'évitais...
Tout juste pour avoir des éléments de comparaison des différents styles d'écrits !
L'histoire par elle-même, j'ai bien aimé... (Ouille, voilà que je me laisse influencer par le style !)
Mais tout de même, écrire cela en cinq cent quatre vingt cinq pages ! (Je suis sûre que vous aussi vous auriez préféré lire 585 ! C'est plus simple non ?)
Il y avait moyen de faire  plus court pour exprimer la même chose, sans compter que toutes ces longueurs n'apportent rien de plus aux personnages, au mieux contribuent-elles à créer un certain climat, une certaine ambiance... où les secrets et les non-dits dominent.
Et vous, si vous l'avez lu, qu'en avez-vous pensé ?
Bonne fin de journée !
qlqmots
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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 19:11

amants-saint-laurent-copie-1.jpg

Au début du 19ème Siècle, un jeune clerc de notaire, Frédéric Fonteneau, envoyé en mission dans la campagne canadienne, par son père notaire, découvre la misère des paysans et tombe amoureux d’une jeune paysanne Adeline Desrouet.

Sa liaison avec elle fera scandale y compris au sein de sa famille.

Il découvre également l’injustice dont sont victimes les descendants des colons français et participe à leur  rébellion  contre le pouvoir des anglais.

Encore une fois, j’ai bien aimé le style d’Alain Dubos, la richesse de son vocabulaire, nourri de quelques expressions typiquement canadiennes et de quelques mots méconnus de moi dont voici quelques exemples : leur commensale, des ludions, l’endogamie sociale, l’antienne, le dithyrambe, les contempteurs, térébrante, ses acmés nocturnes…

Bien sûr, je ne lis pas avec le dictionnaire à proximité, mais je coche la page et dès que je peux, je cherche le sens exact de ces mots pour essayer de les retenir.
A bientôt !

jaimelire
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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 18:35
Ca y est, je viens de terminer "La rizière des Barbares" premier livre d'Alain Dubos, mais aussi, premier ouvrage à révéler les crimes commis par les khmers rouges sous le régime de Pol Pot.

La réédition en livre de poche (Archipoche) de cet ouvrage est on ne peut plus d'actualité, puisqu'en ce moment se déroule le procès des quelques dirigeants khmers qui  sont encore en vie pour être jugés pour crimes de guerre...
L'histoire est basée sur des faits réels, racontée par une famille qui a réussi à survivre dans l'enfer qu'était devenu le Cambodge, au nom de la traque menée contre toute personne susceptible d'agir contre le régime en place : étudiants, enseignants, religieux, médecins, citadins...
C'est très très dur !... On peine à imaginer une telle barbarie au nom d'un idéal ! A travers le récit, l'odeur des charniers vous arrive presque dans le nez...
L'auteur, alors médecin sans frontière en Thaïlande, a recueilli lui-même les témoignages des rescapés et en a fait ce livre poignant.
Merci à vous, Mr Dubos !
Aujourd'hui, le Cambodge est un pays profondément marqué par cet épisode de son histoire. Très attaché à ce pays, Alain Dubos vient d'écrire les textes d'un beau livre "Cambodge, Impressions" qui sortira en librairie le 26 novembre, soit après-demain !

Je sens que je vais aller faire un tour à la librairie...

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