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Qui Suis-Je ?

  • : VESPANNIE
  • : Bonjour ! Je suis ravie que vous veniez me rendre visite... Ce blog est fait pour partager avec vous mes passions pour les loisirs créatifs (broderie, scrap, pergamano, peinture...) mais aussi pour les balades à Vespa dans notre beau département du Tarn&Garonne... (Ce qui n'est hélas plus d'actualité puisque j'ai déménagé dans les Landes et vendu ma Vespa Lx 125). J'y parle aussi de mes lectures... Son nom sonne comme le nom d'un pays du nouveau monde : celui de la retraite et ses menus plaisirs. Merci de me laisser une petite trace de votre passage grâce aux commentaires !
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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 10:44

Anna Gavalda, je ne connaissais que de nom... Je n'avais encore lu aucun de ses ouvrages. En fait, je me suis laissée séduire par les propos de la vendeuse de France Loisirs qui m'avait vue hésiter entre deux autres livres.
Et croyez-moi, malgré ses quelques 637 pages, je ne le regrette pas ! J'ai découvert un style d'écriture, à la fois léger et profond, triste et gai, qui se lit facilement et avec délectation...
Ce qui m'a le plus surprise à la lecture de ce roman, c'est qu'il est écrit par une femme, jeune, et que son personnage est un homme très proche de la cinquantaine.
Ce qui m'a le plus touchée, c'est la profondeur des émotions et des sentiments ainsi que la mise en évidence des valeurs simples de la vie quotidienne, des petits bonheurs qu'elle peut engendrer et auxquels le héros succombe.
Certains critiques ont taxé le roman de "panier garni de digressions et de coquetteries stylistiques"... Moi, j'ai perçu tous les détails donnés plutôt comme un vagabondage de la pensée, qui se pense généralement et ne s'écrit presque jamais, alors pour une fois !
La consolante, pour moi qui ne joue ni aux cartes, ni à la pétanque, je ne connaissais pas... (encore une preuve de mon manque de culture, mdr !) et tout au long du roman, je me demandais si ce terme désignait Anouk, la mère du copain de Charles et dont l'annonce de la mort, fait basculer la vie ; plus tard, s'il désignait Kate, cette  femme de coeur, rencontrée par hasard, qui a abandonné des études prometteuses pour s'occuper d'enfants et d'animaux. Vous l'avez compris : pour moi la consolante, c'était celle qui console... Et au fond, je ne m'étais peut-être pas vraiment trompée...
A vous de découvrir pourquoi je dis cela !
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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 08:30
Et me voilà un peu déçue...
LAPESTENOIRE2.jpgdéçue, non pas par la qualité de l'ouvrage, mais par l'issue de ce roman historique que j'aurais imaginée différente...
En effet, au cours de ce 2ème tome de la Peste noire de Gilbert Bordes, Eugénie se bat pour aider son demi-frère à récupérer le trône de France dont il est l'héritier légitime. Elle se bat contre la  peste qui semble la poursuivre, contre les intrigues des grands du royaume, contre la folie de celui auquel elle a consacré de nombreuses années de sa vie, abandonnant ses enfants...
Dans presque chaque situation dont l'issue semble fatale, son amoureux protecteur, arrive à lui sauver la vie. Les rebondissements sont nombreux et parfois surprenants...
A travers cet ouvrage, on comprend mieux quels ont été les modes de vie du 14ème siècle (crainte de la punition divine, pouvoir des religieux, intrigues politiques, rôle et place des femmes...)
Mais, je n'en dirai pas plus, je  laisse à ceux ou celles qui le souhaitent, le plaisir de le découvrir !
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13 mars 2008 4 13 /03 /mars /2008 09:43

Oh que si… je relis même ! Je relis des livres que j’avais déjà lus il y a quelques temps :

-          La femme en moi de Madeleine Chapsal

-          La deuxième vie des femmes de Christiane Collanges

-          A quoi sert de maudire la nuit ? de Danièle Huèges

Le point commun de ces trois ouvrages, c’est qu’ils parlent de femmes de plus de cinquante ans qui font le bilan de ce qu’a été leur vie et quelle orientation elle leur donne pour la suite.
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Dans « La femme en moi » Madeleine Chapsal dresse le bilan de sa vie. Elle a été une de ces femmes qui ont acquis le droit de vivre libre, qui ont voulu démontrer qu’elles peuvent réussir, et occuper un poste aussi haut placé qu’un homme…

Mais, quelque part, elle a un peu oublié la femme qui est en elle : la mère, l’amante… Une femme avide d’harmonie, de vie paisible, d’amour.
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Dans « La deuxième vie des femmes » Christiane Collange nous explique que les progrès fabuleux de la médecine et l'évolution des moeurs donnent aujourd'hui aux femmes la chance de vivre une "deuxième vie". Passé la cinquantaine, elles jouissent à la fois de toute leur vitalité et d'un sentiment de liberté retrouvée ; s'ouvre alors une période propice aux rencontres, aux découvertes et à l'épanouissement personnel.
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Enfin, dans « A quoi sert de maudire la nuit », Danièle Huèges veut nous prouver qu'une vie n'est jamais fichue. Et elle sait de quoi elle parle! Profondément blessée par la séparation de ses parents, elle fait de nombreuses fugues, se lie d’amitié avec une prostituée. Cette amitié l'amène à fréquenter le milieu du grand banditisme. Elle commet de nombreuses escroqueries et sera emprisonnée 14 années en 20 ans.
A sa sortie de prison, elle rencontre Mona Chasserio, fondatrice de l'association Cœur de Femmes. Elle décide alors de tout faire pour ne plus jamais repartir en prison. Puis Xavier Emmanuelli la nomme chargée de mission pour le secrétariat d'Etat à l'Action humanitaire d'urgence...
Trois femmes  aux parcours très différents dont le témoignage m'aide à confirmer mes choix de vie, mes convictions... de femme de plus de cinquante ans !...

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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 09:50

L’histoire se passe au XIVème siècle et démarre en Gascogne. Plus précisément dans la région d’Eauze.
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Eugénie, fille cachée de la reine Clémence (veuve de Louis X) et de Renaud d’Aignan, poète gascon, découvre le secret de sa naissance et met tout en œuvre pour retrouver son demi-frère, véritable héritier du trône de France, afin de le rétablir dans ses fonctions royales.

Très belle jeune femme, elle a été mariée de force à Geoffroy d’Eauze avec lequel elle a eu deux enfants.

Malgré les tentatives d’enlèvements, elle se déplace aux quatre coins du pays à la conquête de son rang usurpé et rejoint la Conjuration des Lys dont les membres ont juré de remettre sur le trône les vrais héritiers de la couronne… le tout sur fond d’épidémie de peste noire, la mal-mort, dont nul ne connaît vraiment l’origine et qui n’épargne personne, les petites gens comme les bien-nés…

Pour écrire ce roman, Gilbert Bordes  a essayé de suivre les différents événements historiques et a laissé son imagination faire le reste, notamment à partir d’une rumeur de l’époque qui disait que l’héritier de Louis X avait bien survécu et n’était donc pas mort quelques jours après sa naissance, mais avait grandi en Italie.
Un roman qui nous replonge dans l'histoire de la France du XIVème siècle que l'on connaît bien peu.
Bon, il va falloir que j'aille m'acheter le tome 2 pour connaître la suite...
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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 17:28
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Roman de Guillemette de  La Borie,  il raconte  le destin de deux  soeurs qui vont prendre deux chemins de vie complètement opposés à la  suite de la mort de leurs parents...
Caroline l'aînée, docile, épouse un clerc de notaire issu d'une famille  très catholique et bigote. Sa cadette Gabrielle entend bien mener la vie qu'elle choisit. A une époque où la femme est encore soumise à la volonté de sa famille puis de son mari, elle transgresse  les règles de vie qui  lui ont été fixées en envisageant d'épouser un marchand, de confession protestante.
Qui plus est, l'histoire se déroule à un moment crucial du début du XXème siècle, qui va voir la séparation de l'Eglise et de l'Etat, mais aussi les ravages causés par le phylloxéra dans cette région de tradition viticole.
Un roman très agréable à lire, dont les rebondissements tiennent en haleine, jusqu' à la fin.
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16 janvier 2008 3 16 /01 /janvier /2008 09:30

Pourtant je ne lis pas souvent des romans policiers... Mais celui-ci en est un.  Les raisons de mon choix sont  simples : en me rendant à l'Espace Culturel de Leclerc pour me choisir un nouveau livre,  j'ai rencontré un des ses auteurs, Roland Bringay,  que je connais pour avoir eu l'occasion de travailler avec lui, dans le cadre du suivi des enfants en difficulté... Il m'a d'ailleurs gentiment dédicacé mon exemplaire.
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A la retraite depuis peu, lui aussi, il s'est fait plaisir à écrire ce roman, en collaboration avec Nicole Cassard, une de ses collègues. Ce projet, ils l'avaient dans la tête depuis deux ans déjà.
L'histoire se déroule dans un petit village du Quercy Blanc, que je compte bien aller visiter dès que le temps me permettra de reprendre le scooter en toute sécurité... Mais déjà, grâce aux nombreuses descriptions de l'ouvrage, j'imagine un peu cette bastide.
Les auteurs ont parfaitement su maintenir le suspense jusqu'à la fin et la psychologie des personnages est finement analysée. Hormis l'énigme policière, on y retrouve aussi les préoccupations du monde rural : soucis liés à la Politique Agricole, accueil d'étrangers, rugby... On y parle de Valence d'Agen, Moissac, Castelsarrasin, Montauban...

L'héroïne est une jeune femme moderne, qui circule dans la région en moto... Tout pour me plaire !
Merci à ces deux auteurs, qu'ils n'hésitent pas à renouveler cette expérience !
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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 09:19

Voilà un roman que j'ai choisi de lire sur un simple coup de coeur, en voyant la couverture... En effet, depuis que je suis toute petite, je connais cette villa perchée au bord de l'Océan à Biarritz.  Son aspect délabré des années 70  m'a souvent interrogée, voire intriguée, comme elle a du le faire à Bernadette Pécassou Camebrac qui  l'a choisi comme cadre à son dernier roman.
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Un ouvrage qui se lit très facilement,  et qui raconte l'histoire de Sophie dont le mari Maurice, entrepreneur, a construit pour elle, cette fabuleuse villa perchée au dessus de l'océan, face au Trou du Diable.
Non content d'avoir réalisé cette construction incroyable, il décide de construire également dans l'arrière pays, un palais mauresque, au mépris de la tradition basque et des valeurs de ce pays.
C'est alors que Sophie, commence à comprendre, qu'elle est enfermée dans une cage dorée et découvre d'étranges secrets sur Maurice. Va-t-elle s'émanciper et réussir à s'échapper de l'emprise que son mari a sur elle ? Sans doute, grâce à sa rencontre avec Henri de Léez, journaliste rédacteur en chef de la Gazette Biarrotte et avec Orkatz Garay, le basque gardien discret des traditions locales...
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19 décembre 2007 3 19 /12 /décembre /2007 20:29
Et oui, encore un livre sur l'école ! Mais en même temps mon premier Pennac...
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chagrin.jpgDécidément, difficile d'oublier ce qui a gouverné ma vie professionnelle ! Comme l'auteur, je n'ai pas encore trouvé toutes les réponses aux questions que je me suis posée sur les difficultés d'apprentissage de certains élèves ! Mais comme lui, j'ai cherché comment leur donner envie d'apprendre et de lire, comment les aider à dépasser l'image négative que certains se construisent sur eux-mêmes (parfois aidés par les adultes !...) et leurs capacités à réussir.
La solution  ? c'est ....
Mais non, je ne vous dévoilerai pas le secret ! Vous devrez lire le livre pour savoir ;-)))
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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 11:14

Voilà, je viens de terminer « La baie des Maudits »…
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Ce roman d’Alain Dubos raconte l’histoire de Jean Laffite, « pirate-patriote » originaire du Sud-Ouest de la France, parti rejoindre son frère en Amérique.

L’histoire se déroule dans les Caraïbes où cet aventurier, épris de liberté, vit de saisies de navires et de leurs cargaisons, de trafics.

Ce roman, très richement informé de la situation de la région à cette époque, m’a intéressée mais sans plus.

Probablement, ma nature féminine, ne m’a pas permis d’accrocher au personnage et je reste assez insensible à son destin de conquérant…

Moi qui pensais maîtriser relativement bien le vocabulaire français, j’ai été intriguée par le nombre de mots qui m’étaient totalement inconnus et dont il m’a fallu chercher le sens exact sur le dictionnaire (même si le contexte me permettaient de le comprendre en partie). Bien sûr, ce sont des mots peu usités, mais cela montre bien à quel point notre belle langue française s’est réduite… et se réduit encore chaque jour, par le biais de l’usage des textos et autres langages réducteurs que je continue à m’efforcer d’éviter (même si de temps en temps, je me laisse aller à employer un mdr -morte de rire- ou autre ptdr !

Merci à vous Monsieur Dubos de défendre ainsi la richesse de notre langue !
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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 14:23
Voilà, je viens de finir de lire : Constance et la Ville d'Hiver, le dernier roman d'Alain Dubos dont je parlais dans un précédent article. 

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Encore un ouvrage passionnant et très touchant de cet auteur dont j'apprécie le style et les histoires. 
Une fois de plus, j'ai apprécié tout particulièrement sa façon d'exprimer les sentiments de ses personnages, de mêler au texte quelques mots de patois landais, ses descriptions des paysages et des modes de vie dans les Landes du siècle dernier. 
Son roman décrit comment un père qui s'est éloigné volontairement de sa fille alors qu'elle n'était qu'un bébé, cherche, à son retour, à renouer des liens d'amour avec son enfant. Vous l'avez bien compris, l'histoire se passe dans les Landes et sur les bords du Bassin d'Arcachon. Mais je ne vous en dirai pas plus, je vous laisse le plaisir de découvrir par vous-même, ce roman tout en délicatesse.

Grâce à mon blog, j'ai aussi découvert une autre facette de cet homme d'une grande humanité (il fut vice-président de Médecins sans Frontière et continue à oeuvrer dans l'"Humanitaire") : c'est son côté un peu farceur. Dans un commentaire sur l'article "Je viens de lire"
http://vespannie.over-blog.com/100-index.html il m'avait soumis une petite énigme... 

Aujourd'hui, je me sens très honorée d'avoir, sans le vouloir, attiré son attention et d'avoir pu échanger quelques mails avec lui, en attendant de le rencontrer peut-être un jour sur le stand d'un salon du livre ou dans une conférence... 
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